Publié le 26 Octobre 2016
Publié le 18 Octobre 2016
Petite sortie en amoureux ce week-end à Wissant sur la Côte d’Opale.
Encadrée par les falaises des caps Gris-Nez et Blanc-Nez, la baie de Wissant nous offre une superbe plage : 12 km de sable fin !
Sur le chemin des douaniers vers Cap Blanc-Nez
En regardant vers Cap Gris-Nez
Cap Gris-Nez
De l’autre côté : les côtes anglaises
Wissant, ce sont de petites maisons de pêcheurs, basses et implantées les unes à côté des autres, qui côtoient des maisons balnéaires isolées sur leur parcelle, datant de la fin du 19ème et du début du 20ème siècle quand le développement balnéaire a pris son essor.
Le musée du moulin a été reconstruit intégralement en 1929.
La mitonerie, actionnée par la force hydraulique, a gardé ses machines en bois de pin, ses roues en fonte et son monte-charge par courroies à godets.
Quelques pêcheurs utilisent encore le flobart, bateau traditionnel d’échouage.
En 1902
Et aujourd'hui
Villa Antoinette où Charles de Gaulle et sa famille venaient passer des vacances (architecte : Jean-Baptiste Maillard - 1911).
Villa Fleur de Lys (avec les colonnades et les peintures bleues) construite en 1905 par Jean-Baptiste Maillard pour lui-même.
Villas du square de la Butte, principale ouverture de Wissant à la mer
A marée haute, la plage disparait complètement et la mer arrive jusqu’à la digue. Certaines maisons sont périodiquement menacées.
On peut apercevoir la force de l’érosion avec l’effondrement d’une dune malgré les plantations d’ajoncs et la mise en place de poteaux dans le sable.
A d’autres endroits, l’érosion est responsable de l’affleurement de bancs de tourbes holocènes.
Et puis, il y a les oiseaux...
Goéland marin
Aigrette garzette
Cormoran et mouettes rieuses
Bécasseau sanderling
Derrière le massif dunaire se cache une très belle zone de marais, endroit de repos et de nourrissage de nombreux oiseaux migrateurs. Nous n’avons pas eu, malheureusement, le temps de nous y promener.
...Nous reste une immense envie d’y retourner.
Publié le 16 Octobre 2016
Famille : brassicaceae
Surnommé : caquillier maritime, roquette de mer, chou poivré
On le trouve dans les sables du littoral (dunes côtières, plages de sables et parfois de galets) de la Manche, de l’Océan Atlantique, de la Méditerranée où il pousse jusqu’à la limite de la marée haute.
C’est une plante annuelle buissonnante, à longue racine pivotante.
Ses feuilles sont épaisses et luisantes, lobées ou non, alternes.
La floraison dure de juin à novembre. Les fleurs à 4 pétales sont blanches, légèrement rosées ou lilas pâle. Elles sont disposées en grappes terminales odorantes.
Le fruit est une petite silique formée de 2 articles superposés, l’inférieur étant plus court et présentant 2 cornes latérales. La section haute se détache et les graines peuvent ainsi être transportées par les marées puis germer sur une autre plage tandis que la section du bas reste attachée à la plante pour germer sur place. La plante double ainsi ses chances de se reproduire.
La plante est comestible consommée crue. Elle a une saveur saline, légèrement amère. Son goût ressemble aux laitues piquantes. Elle est riche en vitamine C et en iode.
Le caquillier s’accommode de sols non salés et peut être cultivé dans les jardins d’agrément.
Publié le 11 Octobre 2016
Jeune plante (gagnée à la tombola du Club) qui m’offre sa première floraison.
Le Phalaenopsis aphrodite est endémique de Taïwan (où il a presque disparu) et des Philippines. On le trouve dans les forêts primaires et secondaires vers 300 mètres d’altitudes.
Il peut fleurir tout au long de l’année dans son milieu naturel.
Publié le 6 Octobre 2016
Publié le 6 Octobre 2016